💥 Encore plus d’impact !
La semaine dernière il m'est arrivé un truc incroyable ! En l'espace de 2 jours, j'ai réalisé que j'avais vraiment créé de l'impact ! Nb : je vous rassure, ce n’est pas tous les jours comme ça 🙂
4 Good vibes en 2 jours
On m'a en effet annoncé que :
La publicité pour laquelle j'avais conçu et animé un nouveau process de développement pour un grand annonceur, en mode agence de pub internalisée, était en cours de tournage.
Une personne que j’accompagnais dans sa recherche d'emploi, et qui est en poste depuis un an m’a remercié pour mon accompagnement le jour où les 2 startups pour lesquelles il travaille (en tant que DAF part time) étaient élues toutes les deux entreprises de l'année
La communauté de Managers que je venais de former au Design Thinking m’avait donné un très bon NPS ainsi que 2 commentaires super élogieux sur Google. Idem pour une autre formation à la facilitation auprès d’un grand cabinet d’audit/conseil.
Un client me félicitait quant à la tenue d'un atelier en World Café et les répercussions et retours au sein de son état-major.
Là je me dis : c'est amusant que ça arrive le même jour.
C'est peut-être un accident, ou pas… Surtout que l'ensemble de ces succès ont des échelles de temps très différentes, certaines actions ont été initiées il y a 1,5 an, d’autres il y a seulement 15 jours.
Je me suis donc posé pas mal de questions pour essayer d’en tirer des leçons et voir si et comment ça pouvait potentiellement se reproduire.
Avoir plus d’impact : d’où ça vient ?
D’abord, en creusant, j’ai retrouvé cette ambition “avoir plus d’impact” que je m’étais fixée il y a 2 ans.
C’est d’ailleurs inscrit dans ma bio sur le livre “Passez au Design Thinking” :
“Véritable ambassadeur du collectif, il s'appuie depuis 2016 sur le Design de Sens, le Design Thinking et la Facilitation pour accompagner des équipes à se réinventer, innover, et avoir de l'impact.”
Projection auto-réalisatrice ?
Et c’est vrai qu’en tant qu’indépendant, on a souvent des missions dont on ne connaît pas les aboutissements, on n’a pas forcément un contact hyper régulier avec les clients sur les missions passées, et on a souvent à développer son activité aux dépens du suivi de l’impact que l’on a.
Donc c’est sympa de vouloir avoir de l’impact, mais très souvent on ne sait pas si on en a vraiment, et c’est dur à quantifier. C’est vrai aussi que dans l’accompagnement au sens large, on utilise beaucoup pour nos clients la projection dans le futur, comme moyen pour avancer, se transformer, atteindre ses objectifs, et impacter.
Se l’écrire pour soi est une bonne façon d’avoir… de l’impact.
Pourquoi j’en parle ?
Car j’ai une immense gratitude, comme ce regard, tourné vers le ciel de Kōji Yakusho dans “Perfect Days” (Wim Wenders), qui a ce sourire paisible et serein de la personne qui découvre et se projette sur sa nouvelle journée.
Gratitude d’être là, de pouvoir interagir, d’avoir ces opportunités, ces clients qui à un moment m’ont fait confiance et à qui j’ai inspiré confiance.
Gratitude de cet état d’esprit que j’ai chaque matin : « Oser travailler différemment et dépasser ses propres limites » : le Why de Klap, que j’ai envie de transmettre, et dont je réalise avec fierté que d’autres ont dépassé leurs limites.
Gratitude avec ce collectif Klap, avec ces personnes si différentes, si complémentaires, qui continue(nt) à se développer depuis 8 ans maintenant, et pour lequel nous avons toujours du plaisir à travailler ensemble.
Je suis donc comblé d’avoir eu cet impact, mais je sais que “tout passera” (cf. newsletter de Janvier). Il y a des hauts, il y a souvent des bas, et ces moments de gratitude comme ces bas vont s’envoler, se transformeront à nouveau en haut, … le va et vient de la vie.
👉 Les 2 questions qui me viennent ensuite : ce que j’en apprends et comment faire pour que ça dure ?
Ce que j’en apprends ?
En prenant du recul, 2 choses me semblent clé : la visualisation et les liens humains. Chaque projet/ formation a ses périodes de doutes, de creux, mais je sais toujours que le résultat sera là.
Tout ça parce que je l’ai visualisé. J’ai visualisé le tournage de cette publicité, visualisé les succès de cette personne accompagnée, de ces personnes formées qui me rappelleront quelque temps après la formation pour être coachées pour leur futur atelier, ou encore de ces applaudissements à la fin de cet atelier et du débrief sur nous feront avec le client.
J’ai l’impression d’avoir déjà vécu ces instants. Je le dis souvent à mes clients dans la phase de préparation quand on a bien tout couvert : “on est bon, ça va être génial !”.
Méthode Coué ? Pas si sûr… J’apprends aussi que ce sont les liens humains créés avant et pendant la mission/ l’atelier/ la formation qui font toute la différence.
Et quand la connexion est moins là, que les gens restent dans le paraître, ne se livrent pas, sans doute aussi parce que j’ai été moins curieux, interrogateur, connecté, les résultats en pâtissent (cf newsletter de juillet).
Comment faire pour que ça dure ?
Pour répondre à cette question, je me suis fait une auto rétrospective KISS. Et j’ai essayé d’identifier quelques pratiques, même minimes, que j’ai envie de suivre pour que ça dure, et obtenir “L’Effet Cumulé” cher à Darren Hardy, ou l’art de décupler ses réussites.
Keep - le K - ce que j’ai envie de garder : Le contact avec toutes ces personnes, cette diversité d’horizons, d’univers, qui nourrissent mon esprit créatif (mon côté jaune du DISC), et dont j’ai besoin comme une source d’eau vive. Continuer de faire des débriefs systématiques de toutes ces actions/ accompagnements. Une super pratique (cf newsletter d’octobre) qui permet de capturer avec des mots, ce qu’on vient de vivre, pouvoir le conserver pour soi, le partager entre pairs ou avec son client.
Improve - le I - ce que je vais améliorer : Le fait de récupérer du feed-back, d’aller en chercher toujours davantage. Essayer de comprendre ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas pour se remettre en question. L’envie d’aller encore plus loin et de créer du durable. Et donc je vais faire des relances et je vais m’habituer à demander encore plus de nouvelles auprès des personnes accompagnées.
Start - le S - ce que j’ai envie de commencer. Un Journaling, ou carnet du quotidien. Pour capturer ces petits moments peut-être insignifiants qui permettront de mettre davantage en perspective : les mercis, les fiertés et les apprentissages (ce qui est d’ailleurs en toile de fond de cet article). Arriver à faire la part des choses. Ce que je viens de débuter pour 2024.
Cette envie d’aller plus loin et plus vite dans les connexions, d’être au bon niveau, sur le bon contenu. J’ai la chance d’avoir fait du marketing pendant 20 ans, dont 10 en innovation. Aller chercher le client / consommateur, pour comprendre en profondeur ses besoins/ attentes/ tensions, c’est quelque chose d’acquis.
Mais maîtriser l’art de poser la bonne question, j’ai sans doute à progresser encore -> une formation s’impose… merci d’avance pour vos idées ! 🤔
Stop - le S - ce que je vais arrêter : douter et me stresser sur la perspective de mon business, mon évolution professionnelle.
Au final, je retire 2 enseignements pour que ça dure :
Se faire confiance et se projeter : “On est bon, ça va être génial !”.
Et se redire chaque jour : “Va vers tes forces, c’est ce dont le monde a besoin !”
📆 Votre agenda de Change Maker
Et aussi… la Weeklap reprend en mars !
Formation [FACILITATION] les 18 et 19 mars 👉 en savoir plus
Formation [DESIGN THINKING] les 20 et 21 mars 👉 en savoir plus
Formation [FACILITATION GRAPHIQUE] le 22 mars en savoir plus
Et encore… nos prochains Meetup / une super occasion de se retrouver irl !
Démocracie Profonde le 20 mars 👉 en savoir plus
Résolution de Problèmes le 17 avril 👉 en savoir plus
On ne va plus se quitter !!